St-Simon de Rimouski

Belvédère Beaulieu

Pour les passionnés de nature et de vues à couper le souffle, le Belvédère Beaulieu est une adresse incontournable. Situé sur une hauteur, cet emplacement propose un panorama inégalé sur le fleuve Saint-Laurent et les paysages alentour.

Des sentiers soigneusement aménagés permettent aux visiteurs d'explorer la splendeur de la région tout en bénéficiant d'une balade revigorante.

Que ce soit pour une excursion familiale, une randonnée entre amis ou un instant de contemplation en solitaire, le Belvédère Beaulieu garantit une expérience inoubliable.

C'est un endroit qui met en avant la beauté naturelle du Bas-Saint-Laurent et qui encourage à la relaxation et à l'émerveillement

Que ce soit pour une escapade tranquille ou une immersion dans la culture locale, Saint-Simon est une destination à ne pas manquer.

mf mf mf mf mf mf mf mf

Il était une fois...

Il était une fois une aventure au « Belvédère Beaulieu », un endroit que ma curiosité m’avait poussé à découvrir, comme un enfant attiré par le dernier cri en matière de bonbons

J’étais loin d’imaginer que ma visite se transformerait en une épreuve digne d’un marathon !

Dès le départ, j’ai pensé que j’allais faire une petite promenade tranquille. Quelle naïveté ! J’ai vite réalisé que je ne savais pas à quel point j’allais marcher, et encore moins que j’allais emprunter une pente à 15 % qui aurait mis à l’épreuve même un chamois en pleine forme.

À chaque détour, je me disais : « Si je ne vois pas la fin, je fais demi-tour ! » Mais bien sûr, je ne pouvais pas abandonner comme ça, l'appel du belvédère étant plus fort que ma logique !

Sans m’en rendre compte, j’ai gravi plus de 2 km, luttant contre la montée comme si je faisais un tapis roulant pendant 1h30. J’ai même commencé à fantasmer sur une machine à café au sommet, en me promettant une récompense post-souffrance.

J’arrive enfin à mon point final. Mais là, surprise ! Mon acrophobie a décidé de se manifester juste au moment où je devais accéder à la passerelle. En plus, il y avait des hublots de verre sur le plancher qui m’ont regardé avec un air moqueur, comme pour me dire : « Allez, fais un pas, t'as déjà monté tout ça ! »

Je me suis donc tenu à la rampe, photographiant le paysage sans même oser regarder en bas, comme un touriste en pleine crise d’angoisse. En fin de compte, après 2 heures de montée, je me suis retrouvé à avoir fait une marche blanche… sans jamais vraiment prendre le risque de voir le vertige de la beauté au-delà du sol !

Ah, le Belvédère Beaulieu, je reviendrai… avec un parachute, peut-être !

mf mf mf mf mf mf mf mf

Description de ma visite au belvédère Beaulieu

mf mf mf mf mf mf mf mf